Antoine de Castelane

Peintre / Chevalier des Arts et des Lettres
Vit et travaille à Paris et en Sologne

50 années de peinture de l’artiste
On aurait pu penser que l’oeuvre d’Antoine de Castellane, magicien de l’amitié, serait toute faite de lumière, de légèreté ou de joie. Bien au contraire, il nous prend à contrepied en nous offrant une peinture puissante et vigoureuse où la densité de la matière rivalise avec le contraste des couleurs. Cette surenchère visuelle et cette virtuosité technique ne seraient que vaines si elles ne servaient pas un propos fort. En effet, no- tamment à travers cette galerie de portraits, nous retrouvons tous les sentiments qui étreignent le coeur de l’homme : la fuite du temps, le bonheur fugace, la rencontre angoissante de la beauté qui lui fait tou- cher la fragilité de l’existence. Tout ce qui fait qu’il est di cile de traverser la vie en faisant l’économie de la souffrance.
Nous sommes ici en présence d’un artiste qui a trouvé son unité et son style mais au sommet d’un déchirement. Cette forme de révolte qui faisait dire à Scott Fitzgerald que les choses sont sans espoir et cependant être décidé à les changer.

Antoine de Castellane naît à Paris en 1934. Elevé dans l’exigence des grands noms de France, entre le château de Valençay et les collèges Jésuites, il exerce une multitude de métiers différents avant de trouver, à 30 ans passés, son souffle. Un souffle différent, celui qui anime l’artiste, celui qui le révèle. Au cours des années 1960, il peint et se fait connaître des galeries lyonnaises et parisiennes. Cette première période de création, essentiellement non-figurative et dans laquelle Antoine livre son expression de l’air du temps, lui vaut la reconnaissance du milieu. Antoine de Castellane ne peut plus s’arrêter de créer, son travail devient alors figuratif. Ses toiles sont habitées de personnages aux regards parfois égarés, toujours empreints d’une sensuelle mélancolie. Par moment, c’est à la nature qu’il rend le premier rôle et si ses arbres empruntent des traits aux hommes, c’est qu’ils ont une âme, de la sincérité, et des couleurs pour sentiments. Dans les années 1990, il dévoile la méticulosité de son trait à l’encre de Chine : c’est la période «Arborescere». L’Homme et l’arbre pour muses, comme il les côtoie dans la vie, chez lui, en Sologne. Puis Antoine de Castellane reprend aux cours des années 2000 son travail à l’huile et notamment l’exercice du portrait. Le portrait, présent comme un repère dans son oeuvre et qui saisit par son expression, à la fois forte, profonde et délicate des choses de la vie.

Ses toiles sont habitées de personnages aux regards parfois égarés, toujours empreints d’une sensuelle mélancolie. Par moment, c’est à la nature qu’il rend le premier rôle et si ses arbres empruntent des traits aux hommes, c’est qu’ils ont une âme, de la sincérité, et des couleurs pour sentiments. Dans les années 1990, il dévoile la méticulosité de son trait à l’encre de Chine : c’est la période «Arborescere». L’Homme et l’arbre pour muses, comme il les côtoie dans la vie, chez lui, en Sologne. Puis Antoine de Castellane reprend aux cours des années 2000 son travail à l’huile et notamment l’exercice du portrait. Le portrait, présent comme un repère dans son oeuvre et qui saisit par son expression, à la fois forte, profonde et délicate des choses de la vie.

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